Les membres du collège de l’Arafer ont commenté, dans un éditorial publié le 6 avril, l’avis adopté le 30 mars rejetant la candidature de Jean-Pierre Farandou à la présidence du gestionnaire d’infrastructure. « C’est la décision la plus lourde que l’Arafer ait eu à prendre depuis sa création », estiment-ils. Mais ce pouvoir de veto est un « gage important d’acceptabilité de la réforme ferroviaire [du 4 août 2014] que le gouvernement avait mis en avant dans ses échanges avec la Commission européenne ».